[ Il n'y a pas d'ombre, pas d'ombre tout est claire
Aucun endroit où se fondre ]
Aucun endroit où se fondre ]
pourkoapasmoa
Juste une idee, pas ce que je suis... Juste une idee qui passe, un sourire aux levres, et les yeux qui petillent ..
Samedi 25 avril 2009 à 10:52
Peut-être que vous aviez raison, tous autant que vous êtes. Peut-être même que j'avais tort, il faudra bien l'admettre. Il en aura fallu du temps, pour ouvrir les yeux, je sais. Se rendre compte que les salops sont des salops, irrémédiablement. S'en rendre compte un peu trop tard. Mieux vaut tard que jamais. S'être accrochée à rien. Se décrocher enfin. Pourquoi maintenant ? On ne le sait pas. Les choses sont comme elles sont, arrivent quand elles arrivent, on ne choisit pas. Et tant mieux. Ou si, peut-être bien que pour une fois on sait. Mais on attendra un peu. Histoire de.
Mercredi 22 avril 2009 à 20:33
Parce qu'il y a cette chanson. Ce prénom. Cette silhouette. Un reflet, certes, mais toujours présent. Une ombre. Mais un peu comme mon ombre, qui me suit. Un reste de rêve au réveil. Mais du genre dont on se souvient. On ne devrait pas, on nous l'a tellement répété. Et pourtant on s'obstine. Ca n'est pourtant pas faute d'essayer. Alors on ment. Un peu aux autres, beaucoup à soi même. Parce que ça ne nous correspond pas. Ca ne me correspond pas. On joue, sans cesse. On joue, et l'on triche.
We'll see.
We'll see.
Jeudi 16 avril 2009 à 20:43
Un mot, ou deux, puis plus rien. Parce qu'il n'y a plus rien. Seulement un joli sourire, mais plus d'étoiles dans les yeux. Alors ça y est, on y est. Le moment où. Où l'on rouvre les yeux. Et tout est en couleur. Avec seulement un reste de toi dans l'ombre. Un reste, rien d'autre. A peine un regret. Il aura fallu un peu de temps. Ca prends toujours un peu de temps.
Alors saute-moi au cou
allez dis-moi que la vie est belle
Alors saute-moi au cou
allez dis-moi que la vie est belle
Vendredi 10 avril 2009 à 13:47
Parfois, on regarde le ciel sans se souvenir si c'est l'aube ou le crépsucule. On tourne, sans s'arrêter. Un manège duquel on aurait oublié de descendre. Qui accélère. Prend de la vitesse. Nous entraîne. Encore une entrée en matière malhabile. Rature.
On continue de dessiner les mêmes coeurs, dans le coin gauche, jusqu'au coin droit, par habitude. Rature.
On ri. De tout, de rien. La bouche en coeur, les yeux pétillants. On essaye. Fascinée par la lumière. Les yeux fixés sur une lune ronde, presque rousse. A se demander ce qu'il. Ne pas comprendre comment. Alors rire encore.
Come on baby light my fire *
On continue de dessiner les mêmes coeurs, dans le coin gauche, jusqu'au coin droit, par habitude. Rature.
On ri. De tout, de rien. La bouche en coeur, les yeux pétillants. On essaye. Fascinée par la lumière. Les yeux fixés sur une lune ronde, presque rousse. A se demander ce qu'il. Ne pas comprendre comment. Alors rire encore.
Come on baby light my fire *
Samedi 4 avril 2009 à 12:25
Peut-être que je n'irai pas à Londres, tout compte fait. Peut-être aussi que je suis une éternelle insatisfaite. Ne jamais savoir ce que l'on veut. Ou ne pas vouloir ce que l'on peut. Être un peu trop compliquée. On ne peut rien dire, alors on se taira. Alors tant pis. On écoute cette musique, assise sur le rebord de la fenêtre, sous un soleil un peu trop discret. S'auto-censurer, un peu, comme ça.
*Et croire en ses vieux rêves.