Dimanche 29 juin 2008 à 20:31

On ne sait pas toujours quoi dire ... On finit par écrire toujours les mêmes choses. Banalités. A propos des mêmes sujets, vaguement déguisés sous de jolies mais inutiles métaphores...




Alors allons oublier, allons boire et danser...

Vendredi 27 juin 2008 à 20:41

Il se peut que cela tourne encore un peu.
Sentiments étranges. Drôles de moments. Instants volés au réel. Flous. Et une foule de souvenirs.
Il est parti. C'est certainement mieux ainsi. Mais tout de même.
Pour quoi passe-t-on, alors ?! Que pensent les gens ?! On s'en moque, n'est ce pas ?! L'avis des gens... Il reste comme un vide. Comme un manque quelque part. Une sorte de désert intérieur. Peut-être n'y a-t-il pas de mots suffisants pour couvrir nos sentiments. Peut-être est-elle un peu égarée dans sa tête...
Peut-être que mes mots n'ont pas vraiment de sens. Alors on se console en oubliant.


 [ Stay, you can leave tomorrow, please, stay...]



Dimanche 22 juin 2008 à 23:51

Parce que l'on finit par dessiner des coeurs par habitudes. Parce qu'en même temps, il arrive un peu trop fréquemment d'avoir ces petits pincements au coeur... Une même plage. Un même café. Quelques souvenirs partagés. Des souvenirs à oublier. Des souvenirs à remplacer. L'amour, son bel amour, il ne vaut pas bien cher, contre un calendrier. Tant pis. Tant de paroles en l'air. Tant de grands mots, qui pour finir ne voulaient rien dire. Tant de jolis mots qui mentaient. Tant de battements de coeur  si vainement accélérés. Et si l'on arrêtait de penser, parfois ?!


Pour ne pas penser au plus tard, qui de plus en plus devient de moins en moins tard, et qui s'approche à si grand pas. Comme pour nous narguer. On va à nouveau avoir un peu de temps. Du temps pour soi, du temps pour vous, pour nos rires et nos fous rires, pour nos petits moments de nostalgie. Nous avons dit au revoir au lycée. Pour de bon. C'est fini.
Ca fait un peu trop de fins pour un même moment...


 

Vendredi 13 juin 2008 à 21:39

Plus que trois jours. Trois jours. Disons trois nuits. On a rien vu venir. Ou plutot si, mais ça semblait tellement loin. Et puis là... Et bien ça y est. On y est. Pour de vrai. De vrai de vrai. Une petite boule dans le ventre qui grandit. Pourtant on le sait, on est presque prêt. Mais on ne sait plus rien. On doute de tout.
Je peux presque sentir le soleil, un livre posé sur le visage, et le vent qui nous caresse la peau. Je peux presque sentir les vacances. Plus qu'une petite semaine... Une toute petite semaine...
Quoi que.



[ Faire, sans croire vraiment
Agir, sans trop d'illusions
Se prêter, sans se donner ]

Et puis on repartira,
les compteurs à zéro,
 la tête vide, mais
remplie de     
souvenirs ..





Jeudi 5 juin 2008 à 17:58

"Sentimentalement atrophiée."  Indifférence, si tu pouvais.

[ A dire qu'on est un peu radin,
faudrait se donner un peu d'espoir,
arrêtons là tu veux bien,
laisse-moi me rincer près du lavoir,
y a plus de raison de se faire croire
on est pas vieux, amoureux, on reste seul le soir. ]

[ C'est pas facile de savoir pourquoi,
pas facile pas possible de compter sur soi.]

[ Voilà, c'est fini
On va pas s'dire au revoir comme sur le quai d'une gare
J'te dis seulement bonjour et fais gaffe à l'amour ]

Il suffit parfois de chansons. Quand on ne trouve plus ses mots. Quand penser finit pas faire mal. Quand penser à ce que tu dois penser fais encore plus mal. Quand penser à ce que tu dois penser que je pense finit pas me rendre folle. Quand penser à toi finit pas me dégouter. Quand nos mots ne suffisent plus. J'ai fini par me dire que p't'être on va guérir.
Une histoire tellement banale finalement.
Banale.

Effacés, tous les jolis messages, mails et autres... Effacés, tous les mots blessants, ceux dans lesquels tu craches ton indifférence.
Je t'aimais bien, mais sors de ma tête.


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